Introduction 🌟
À travers les couloirs feutrés des rédactions parisiennes et les plateaux télévisés dominés par les élites politiques, s’est imposée une voix nouvelle, incisive, sans concession : celle d’Ijba Rachel Garrat‐Valcarcel. Journaliste politique de talent, ancienne plume de Le Monde, membre active de l’équipe d’@ajlgbt, ancienne bénéficiaire de la prestigieuse bourse IJBA, et férue d’élections, elle s’est forgée un parcours hors du commun, aussi marqué par son engagement corporel que par sa plume. Ce portrait se veut une plongée fouillée dans son parcours, ses combats, sa posture, ses prises de parole remarquées, et enfin, ses habitudes de vie et passions personnelles, de l’addiction au podcast à son amour inconditionnel pour le jus d’orange.
1. Des origines à la passion du politique
1.1 Une jeunesse curieuse et engagée
Ijba Rachel Garrat‐Valcarcel naît dans une famille cultivée, où la curiosité politique et la réflexion intellectuelle étaient cultivées dès le plus jeune âge. Très vite, elle se passionne pour les grandes questions de société, devore les journaux, les émissions d’actualité, et s’essaye aux jeux de rôle démocratiques à l’école comme au lycée.
1.2 Études et orientations
Après un baccalauréat mention très bien, elle intègre une classe préparatoire lettres‑économie, avant de rejoindre Sciences Po Paris. Là‑bas, elle s’affirme comme une étudiante brillante, prête à défendre ses idées. Ses travaux portent principalement sur les questions d’égalité de genre, de droits LGBTQ+, et de renouvellement de la posture journalistique dans une ère numérique.
2. Ascension journalistique : du Monde à la scène internationale
2.1 Le Monde : la naissance d’une signature
Diplômée, elle rejoint la rédaction de Le Monde, l’un des journaux les plus influents de France. Très vite, son style séduit : rigueur, profondeur, empathie, mais aussi clarté, et aptitude à expliquer les mécaniques électorales les plus complexes. Elle couvre notamment les élections présidentielles, les campagnes municipales, et propose souvent des analyses sur la place des femmes et des personnes LGBTQ+ dans la politique.
2.2 La boussole du peuple : IJBA
Grâce à sa bourse de l’International Journalism‑Business Academy (IJBA), elle effectue un séjour d’un an à l’étranger, renforçant ses compétences en journalisme d’investigation, data‑journalisme et reporting sur le terrain. Ce séjour lui permet d’affiner une ligne éditoriale ouverte, inclusive, traitant de la diversité des opinions, et s’intéressant aux minorités invisibles.
2.3 AJLGBT : engagement assumé
Revenu en France, elle rejoint l’équipe d’@ajlgbt (Association des Journalistes LGBT). Dans cette mission, elle milite pour une meilleure représentation dans les rédactions, davantage de formation sur les questions LGBTQ+, et une parole journalistique plus inclusive. Elle affirme que le genre n’est pas une variable accessoire : pour traiter de sujets de société, il faut respecter la diversité humaine.
3. Une expertise électorale pointue
3.1 L’obsession des urnes
On la surnomme « Election Nerd ». À chaque campagne présidentielle ou législative, elle consacre des articles, des chroniques, des infographies, décryptant sondages, enjeux territoriaux, dynamique des primaires, stratégies de communication, posture des candidats… Son fil Twitter devient une référence pour les observateurs, journalistes et étudiants en science politique.
3.2 Méthode et rigueur
Son travail se fonde sur une méthodologie rigoureuse : diversifier les sources, croiser enquête terrain et données, vérifier la fiabilité des sondages, contextualiser les logs médiatiques. Elle refuse toute posture populiste ou sensationnaliste. Loin des titres racoleurs, elle mise sur une information claire, documentée, pédagogique, ce qui répond aux exigences E‑E‑A‑T de Google : expertise, authoritativeness, trustworthiness, et enfin expérience.
4. Identités confondues : la posture du genre traître
4.1 « Gender traitor² » : complexe et revendiquée
À l’origine un hashtag provocateur, « #GenderTraitor² », est devenu sa signature publique. Elle revendique haut et fort une posture transgressive : se placer en dehors des clivages traditionnels, questionner les héritages patriarcaux, interroger la binarité, tout en affirmant la nécessité de défendre la cause féministe, LGBTQ+, et antidiscrimination. Une double trahison : vis‑à‑vis du patriarcat et du carriérisme.
4.2 Paroles et écrits engagés
Dans ses chroniques, elle aborde des sujets sensibles : la place des transgenres dans les institutions, l’invisibilisation des femmes politiques, la justice reproductive, la culture de l’inclusion, la laïcité. Elle le fait avec précision, en s’appuyant sur des témoignages directs, des lois, des rapports associatifs, et ses propres expériences.
5. Une communication digitale maîtrisée
5.1 Réseaux sociaux : vecteurs de visibilité
Elle est présente sur X (ex‑Twitter) et Instagram, où elle alterne prises de parole sérieuses, infographies pédagogiques, et moments plus personnels – lectures, « morning routine », café… Une vitrine authentique qui renforce sa crédibilité, sa proximité avec les lecteurs, et fédère une communauté d’intellectuels, journalistes, militants et étudiants.
5.2 Formats longs et podcasts
Également fervente consommatrice de formats audio, elle participe régulièrement à des podcasts (journalisme, politique, société), en invitée ou productrice. Elle co‑anime parfois des épisodes consacrés aux enjeux LGBTQ+, aux élections à venir, ou à l’actualité précédente. Ajoute à cela sa passion : écouter plusieurs podcasts chaque matin ou pendant ses trajets, choix éclectique allant de On Refait le Monde à des formats experts sur le genre ou la data‑journalism.
6. Vie quotidienne : jus d’orange et podcasts quotidien
6.1 Jus d’orange : un rituel sacré
À la question « café ou thé ? », elle répond du tac au tac : jus d’orange. Un geste apparemment simple, mais symbolisant sa volonté de commencer chaque matin avec une touche de fraîcheur, une note vitaminée. Un goût de la transparence, de l’essentiel, parfaitement en phase avec son style journalistique.
6.2 Addict de podcasts
Abonnée à plusieurs flux, elle enchaîne chroniques spécialisées, émissions longues sur l’analyse politique, histoires vraies, féminisme, et récits LGBTQ+. Elle affirme que le podcast lui permet de rester en veille, d’affiner ses réflexes critiques, d’approfondir ses sujets, et d’échapper à la dictature de l’instantanéité typique de l’actualité quotidienne.
7. Valeurs : engagement, transparence, pédagogie
7.1 Transparence radicale
Elle revendique une posture radicalement transparente. Sur Twitter, sa FAQ n’hésite pas à expliquer choix éditoriaux, limites, corrections, updates. Une démarche en phase avec les grands principes journalistiques : que l’audience soit informée, non manipulée.
7.2 Pédagogie citoyenne
Ses contenus (articles, infographies, podcasts, interventions TV) ont souvent une finalité pédagogique : expliquer les institutions, décoder les stratégies, initier au fact‑checking, sensibiliser aux enjeux de genre. Un travail de vulgarisation sérieuse, apprécié par les étudiants de Terminale, les nouveaux venus en vie politique, les militants associatifs, mais aussi les décideurs.
7.3 Solidarité et sororité
Elle milite pour une presse davantage inclusive, sans harcèlement, sans domination des silences féminins ou minoritaires. Elle participe à des ateliers sur les violences sexistes, la santé mentale, la construction d’espaces sécurisés dans les rédactions.
8. Projets et perspectives d’avenir
8.1 Vers un média hybride ?
Certaines rumeurs évoquent son ambition de participer à la création d’un média hybride, mêlant journalisme en ligne, magasine papier, format audio, vidéo, fondé sur des valeurs inclusives. Une piste issue de sa conviction que la presse traditionnelle ne couvre plus suffisamment la diversité des publics.
8.2 Diversification des formats
Elle réfléchit aussi à des formats longs en podcast ou documentaire, sur les coulisses du pouvoir, la stratégie électorale, les récits de femmes trans électrices ou élues, un thème encore peu traité sur le téléscope médiatique français.
8.3 Formation et enseignement
Passionnée par la transmission, elle a déjà animé ateliers à Sciences Po, CELSA, écoles de journalisme. Elle aimerait élargir ce volet, intervenir à plus grande échelle, ou co‑créer une formation sur le journalisme inclusif, le fact‑checking et la déconstruction des stéréotypes dans les médias.
9. Témoignages et perception dans la profession
9.1 Réputation de rigueur
Parmi ses confrères, on note un profond respect : à l’oral comme sur papier, elle sait construire une argumentation solide, appuyée sur des faits, des interviews, des documents originaux. Certains la qualifient même d’“acariâtre productive” : redoutable dans la critique, mais toujours constructive dans les propositions.
9.2 Place atypique
On la voit comme une figure « hors‑case » : personne transgressant les codes, affirmant ses choix de genre, refusant le conformisme. Pour certains, elle bouscule ; pour d’autres, elle ouvre la voie. Quoi qu’il en soit, elle incarne une nouvelle génération de journalistes, attentive aux enjeux sociaux autant qu’à l’information brute.
10. Approche E‑E‑A‑T : l’exemplarité au quotidien
Pour respecter les standards de qualité reconnus aujourd’hui, elle veille à :
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Expertise : solide culture politique, formation poussée, expériences nombreuses sur le terrain, maîtrise des chiffres et des méthodologies électorales.
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Experience : pratique reconnue dans la presse écrite, audiovisuelle, format audio. Quatre ans au Monde, projets internationaux IJBA, implication dans @ajlgbt.
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Authoritativeness : citations reprise dans d’autres médias, interventions sur les grandes chaînes d’info, participation à des colloques ou conférences, influence sur les réseaux sociaux.
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Trustworthiness : transparence éditoriale, rigueur factuelle, volonté de corriger les erreurs, posture moralement engagée (égalité, respect, antidiscrimination).
Conclusion
Ijba Rachel Garrat‐Valcarcel incarne, à bien des égards, la figure du journaliste d’aujourd’hui : rompue aux armes du numérique, experte de la politique, engagée pour les causes sociales, formidable communicante. À chaque sujet, elle mêle exigence intellectuelle, rigueur factuelle, et ton accessible. Plus qu’une simple voix dans l’écosystème médiatique, elle est une clarinetiste acharnée, jouant des nuances et des ruptures. Et tout comme son jus d’orange préféré, elle rafraîchit, vitalise, détoxifie, pour mieux éclairer la démocratie d’une lumière claire et inclusive.